Logement

Logement : Le référendum contre la loi Zaccharias déposé

C’est avec satisfaction que solidaritéS a participé, mercredi 5 novembre, au dépôt des signatures pour le référendum contre la loi modifiant la loi sur les démolitions, transformations et rénovations de maisons d’habitation (mesures de soutien en faveur des locataires et de l’emploi, LDTR). En effet, les milieux immobiliers et ses représentants au Grand Conseil, emmenés par le MCG, cherchent à tout prix à détruire la loi qui protège les locataires. Afin d’atteindre leur but, ils ont voté une nouvelle loi qui prévoit la suppression définitive de tout contrôle des loyers pour les locaux commerciaux transformés en logements, ainsi que la possibilité pour le bailleur de retransformer librement dans le futur ces logements en bureaux et, ainsi, de chasser les locataires de leurs appartements. Ceci équivaut tout simplement à leur octroyer un véritable permis de spéculer. 

Cependant, les riches promoteurs et leurs amis au parlement semblent oublier que la population n’est pas dupe. La facilité avec laquelle les différentes associations et groupes politiques ont récoltés environ 1500 signatures, alors que 500 suffisent, devrait les mettre en garde. Les ha­bi­tant·e·s de Genève ne laisseront pas la politique du logement aux mains des spéculateurs immobiliers. En pleine crise du logement, nous devons au contraire augmenter le nombre de construction de logements abordables, renforcer le droit des locataires et le contrôle sur les loyers. 

La bataille ne fait que commencer, mais le soutien populaire est déjà présent ! PC

C’est avec satisfaction que solidaritéS a participé, mercredi 5 novembre, au dépôt des signatures pour le référendum contre la loi modifiant la loi sur les démolitions, transformations et rénovations de maisons d’habitation (mesures de soutien en faveur des locataires et de l’emploi, LDTR). En effet, les milieux immobiliers et ses représentants au Grand Conseil, emmenés par le MCG, cherchent à tout prix à détruire la loi qui protège les locataires. Afin d’atteindre leur but, ils ont voté une nouvelle loi qui prévoit la suppression définitive de tout contrôle des loyers pour les locaux commerciaux transformés en logements, ainsi que la possibilité pour le bailleur de retransformer librement dans le futur ces logements en bureaux et, ainsi, de chasser les locataires de leurs appartements. Ceci équivaut tout simplement à leur octroyer un véritable permis de spéculer. 

Cependant, les riches promoteurs et leurs amis au parlement semblent oublier que la population n’est pas dupe. La facilité avec laquelle les différentes associations et groupes politiques ont récoltés environ 1500 signatures, alors que 500 suffisent, devrait les mettre en garde. Les ha­bi­tant·e·s de Genève ne laisseront pas la politique du logement aux mains des spéculateurs immobiliers. En pleine crise du logement, nous devons au contraire augmenter le nombre de construction de logements abordables, renforcer le droit des locataires et le contrôle sur les loyers. 

La bataille ne fait que commencer, mais le soutien populaire est déjà présent ! PC